11 juillet 2008
Tes bras m'ont berçés pour toujours
Ma mère, que j'ai un temps repoussé. Ma pauvre maman qui souffre doublement, pardon. Il m'aura fallu ces six mois de cheminement pour m'en rendre compte. Tu as fais comme tu as pu. Tu as été la meilleure mère possible et tu continue à l'être. Les blessures...